Élu depuis 2014, Thierry Albert est le maire de la commune déléguée de Saint-Quentin-en-Mauges. Les Saint-Quentinois s’élèvent au nombre de 1119 au 1er janvier 2018 (Source : Insee) sur un territoire de 21,31 km².

Saint-Quentin-en-Mauges est située en plein pays des Mauges Rurales, entité territoriale reconnue au travers de la structure du pays des Mauges pour son dynamisme et la richesse de ces activités.

Située à 30 km de Cholet, 40 km d’Angers et à 57 km de Nantes, la commune bénéficie de la proximité de villes de taille moyenne telles que Beaupréau, Chalonnes-sur-Loire et La Pommeraye.

Que de nouveaux habitants s’installent est un signe de vitalité. cela montre que la commune se développe et qu’elle est attractive avec un tissu associatif très important et diversifié.

Chacun pourra s’épanouir selon sa profession, ses goûts et ses désirs, découvrant un cadre de vie différent d’un tissu urbain.

Historique

La commune de Saint-Quentin-en-Mauges vient du fond des âges. Dès l’antiquité, le site était habité par des populations nomades, et il faudra attendre le haut Moyen-Âge pour que l’embryon du bourg se développe.

Le nom de Saint-Quentin-en-Mauges qui évoque un patronage religieux est indissociable de la création d’un prieuré en 1040.

Les religieux qui possédaient des terres s’étendant sur plusieurs fermes actuelles, dépendaient de l’abbaye de Marmoutiers à côté de Tours.

Comme beaucoup de villages français, Saint-Quentin-en-Mauges, est d’abord un centre religieux où se développent les activités agricoles et artisanales. La Population en ces périodes troublées, vient tout naturellement se mettre sous la protection des puissants (Seigneurs ou religieux).

Malheureusement, il ne reste aucun vestige du passé sur notre commune.

Origine du nom

Le nom de la commune apparaît vers 1400.

Saint Quentin, apôtre d’Amiens, martyr au IIIème siècle, fils d’un sénateur de Rome, quitta sa famille et sa patrie pour venir évangéliser dans les Gaules les peuples d’Amienois et du Vermandois.

Rictiovare, gouverneur de cette contrée sous Diocletien, ayant appris les nombreuses conversions opérées par l’Apôtre l’accusa de violer les édits des Empereurs : il le fit arrêter, mettre en prise (dans la ville de Soissons) et le tortura.